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Psychologie positive

La psychologie positive

La psychologie positive

Durant mes 4 années d’études de Rigologie,
je découvre en plus des outils d’activation du rire,
la
psychologie positive
et l’
intelligence émotionnelle.

Je découvre les travaux de Martin Selingam
Psychiatre américain, 
spécialiste de la dépression.

Martin Seligman, psychologie positive

Martin Selingam, tournant de vie

Lors d’un vol interne aux états-unis, dans les années 90.
Martin rencontre un chef d’entreprise
qui stimule ses équipes uniquement en valorisant leur réussite,
aucune observation sur les échecs, les ratés, les points d’améliorations.
Rien.
Uniquement focus sur tout ce qui est réussit. 

Y a que des américains pour tester un truc pareil !
Ca parait impensable en France où tout notre système éducatif pointe du doigt toutes nos erreurs.

 

Mais ça marche de ce qu’il en dit.
Ses équipes adorent travailler dans son entreprise.
Ils sont naturellement stimuler pour s’améliorer.
Ils osent plus. 
Naturellement chacun apprend de ses erreurs et s’améliore,
la curiosité libérée d’oser essayer et réessayer.
Et forcement ça paye, ils réussissent plus. 

 

Martin sort de cet avion des questions pleins la tête. 
Car il a passé tout sa carrière en étant focus sur les dépressifs
mais pas sur ceux qui sont heureux.

Martin Selingam, père de la psychologie positive

En 1998, il est président du congrès annuel de l’Association américaine de psychologie,
où il est en charge d’allouer des fonds à des recherches sur un sujet spécifique. 

Il constate qu’entre 1967 et 98, 95 % des études scientifiques publiés
portaient sur les maladies mentales, la dépression et l’anxiété.
Et seulement 1/ 12 sur la joie, le bonheur et le bien-être.

la psychologie malade

 

Martin et ses collègues déclarent la psychologie « malade de sa propre recherche ».

Il observe que la psychiatrie traite tous les troubles liés à la perte des facultés psychique. 
La psychanalyse du mal être. 
Mais aucune ne mesure le bien-être
Ni l’étudie…

définir la psychologie positive

Il définit la psychologie positive comme

« l’étude scientifique des forces et des qualités qui permettent aux individus et aux communautés de s’épanouir. »

En gros, elle étudie ce qui marche chez ceux qui vont bien !

Lancement de la psychologie positive

Il lance un premier programme de recherche 
pour observer ce que fond les gens qui sont heureux pour être si heureux,
et peut-être même être encore plus heureux. 

Ces recherches ne vont jamais s’arrêter. 

Tal Ben Shahar, psychologie positive

Jusqu'à harvard

 

Aujourd’hui, Tal Ben-Shahar donne même des « cours de Bonheur » à Harvard issu de ces travaux. 

notre mode survie selon la psychologie positive

J’y découvre que notre cerveau est câblé de base en mode survie

Tout y est pré-programmer pour nous permettre de survivre.
Mais pas de vivre heureux. 

Rien à faire des oiseaux qui chantent et du soleil qui brille. 

En mode survie,
le moindre danger est pris au sérieux.
Une branche qui bouge peut cacher un prédateur.
On y réagit au moindre impulsion émotionnelle. 

Notre mode survie ne s’est pas encore habitué à notre civilisation pépère. 

Elle est encore en mode Cro-Magnon, « Attention ! je vais me faire bouffer. »
Ce qui importe est de prendre le moins de risque possible pour survivre. 

proposition impressionnante

Naturel, le cerveau est plus attentif à notre environnement négatif qu’au positif. 

Et la proportion est impressionnant entre 1 pour 3 à 1 pour 10 selon le contexte. 

Pour compenser 1 truc négatif, on a besoin de 10 positifs. 

Imaginez : Une critique, 10 compliments pour compenser !! 

Vous en recevez beaucoup des compliments vous au boulot ?

 

 

entrainer notre cerveau à la psychologie positive

Mon cerveau à moi est très attentif à tous les détails.
Avec mon câblage initial, impossible pour moi d’être heureuse.
J’ai besoin de faire de la gym du cerveau. 
Oui, on peut apprendre à notre cerveau à se câbler en mode Bonheur.

Oui, oui ! Ca existe les abdos-fessiers du cibouleau.
Et en plus, ça marche, et c’est moins fatiguant que la salle de sport…

Ca commence avec des trucs tout simple,
exemple : observer tous les jours, ce qui est positif et agréable.
Et marqué le coup pour capter l’attention de notre cerveau.   

Développer des nouveaux liens neuronaux
pour que notre cerveau voit automatiquement tout ce qui est cool dans notre vie.
Jusqu’à ce que cela devienne une compétence inconscient. 

En gros, on le fait sans même s’en rendre compte.
Ca prend quelques mois, mais après ca marche pour toute la vie !!  

le levier le plus puissant en psychologie positive

La psychologie positive a déterminé que le levier le plus puissant au bonheur, c’est la gratitude. 

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